(Adnkronos) – Les maladies bactériennes invasives comprennent toutes les infections qui « envahissent » un environnement normalement stérile (liquide céphalo-rachidien ou sang) avec des conséquences très graves et souvent mortelles, telles que la méningite et la septicémie.
La méningite à méningocoque est une infection grave, invalidante et souvent mortelle, quoique rare. 10% des patients meurent malgré des soins adéquats. 10 à 20% des survivants peuvent subir des amputations, des lésions cérébrales, une perte auditive, des troubles d’apprentissage.
Un risque qui, bien que plus important chez les jeunes enfants, reste à vie et touche particulièrement les personnes les plus fragiles, comme les personnes âgées ou les sujets immunodéprimés.
C’est pourquoi « prétraiter » une pathologie aussi grave que la méningite et, plus généralement, les maladies bactériennes invasives, en promouvant une information correcte et en aidant les personnes à se protéger et à protéger les autres.
C’est là que « Prenons soin de la méningite en Vénétie et en Frioul-Vénétie Julienne – entre les meilleures pratiques et le besoin de protection », une comparaison entre les cyniques et les experts pour promouvoir une information correcte et aider les gens à se protéger et à protéger les autres, avec un accent particulier sur ces deux régions.
La réunion, qui sera diffusée en direct sur la page Facebook et la chaîne YouTube d’Adnkronos le mardi 9 mai à 15h00, verra la participation de : Vincenzo Baldo, professeur ordinaire d’hygiène à l’Université de Padoue ; Carlo Tascini, directeur clinique des maladies infectieuses d’Udine ; Michele Tonon, Direction de la Prévention, Sécurité Alimentaire, Médecine Vétérinaire, Région Vénétie ; Francesca Valent, directrice du SC Hygiène et santé publique, Autorité sanitaire universitaire centrale du Frioul ; Cristina Zappetti, Service de prévention, de sécurité alimentaire et de santé publique vétérinaire, Région autonome du Frioul-Vénétie Julienne. Modératrice, Maddalena Guiotto, journaliste Adnkronos.