(Adnkronos) – « Au niveau institutionnel, on parle aussi du deuxième pilier de la santé : celui lié à la complémentaire santé définie par la négociation collective. Je voudrais lancer une invitation à considérer la complémentaire santé comme un outil stratégique capable d’assurer une organisation plus efficace des dépenses privées de santé, également dans une perspective de pérennité du Service National de Santé ». C’est ce qu’a déclaré Egidio Paoletti, président d’Assosistema Confindustria à l’occasion de l’assemblée publique intitulée « L’avenir de la santé et du NHS à la lumière du nouveau Code des marchés publics et d’un nouveau modèle de marchés publics. Vers une nouvelle revue des dépenses ?’.
« Entre le public et le privé, il ne devrait pas y avoir de compétition mais une collaboration compétitive, surtout dans un secteur comme celui de la santé, afin de garantir aux citoyens la meilleure assistance ».
« Notre pays fait face à deux énormes défis interdépendants : l’un démographique et l’autre sanitaire. Dans une société – explique-t-il – composée de plus en plus de personnes âgées, bien vieillir n’est pas seulement un problème de bien-être individuel, c’est aussi un objectif de bien-être collectif. Pour cette raison, le NHS doit être en mesure de répondre positivement à la demande croissante de santé ».
« Dans cet esprit – dit-il – Assosistema Confindustria a immédiatement partagé la création d’un intergroupe parlementaire qui concerne précisément le vieillissement actif de la population, une table à laquelle l’Association que je préside apportera tout son soutien possible ».